3 Tendances du marketing de cause à effet pour les organismes sans but lucratif et leurs partenaires commerciaux
Le marketing de cause est trop important et trop important pour ne pas en tenir compte
Le marketing de cause à cause est devenu une grande affaire pour les organismes sans but lucratif et leurs partenaires d’affaires. Des recherches récentes révèlent à quel point le marketing de cause est populaire auprès des consommateurs et ce que l’avenir réserve à cette industrie en plein essor.
Le marketing des causes, bien qu’il ne soit certainement pas nouveau, est devenu bien connu dans les années 1980.
Le marketing de cause et le parrainage d’entreprise n’ont cessé de croître depuis, devenant l’un des moyens les plus populaires de recueillir des fonds pour les organismes de bienfaisance, et une voie directe vers la responsabilité sociale des entreprises pour de nombreuses entreprises.
Que réserve l’avenir au marketing de cause ? Trois tendances peuvent prédire où les spécialistes du marketing des causes iront ensuite.
Tendance no 1 : Croissance accrue
La tendance pour le marketing de cause est à la hausse. Tenir les entreprises responsables de la façon dont elles traitent la planète, leur population et les consommateurs, c’est aller au-delà d’une simple audience de niche et c’est un mouvement mondial.
Alors que plus des trois quarts des consommateurs Européens s’attendent à ce que les entreprises fassent plus que réaliser des profits :
Des études montrent que plus de la moitié des consommateurs interrogés ont dit qu’ils voulaient que les entreprises auprès desquelles ils achètent participent à opérations de parrainnage. En outre, parmi les jeunes de 18 à 34 ans, 61 % ont déclaré qu’ils s’attendaient à ce que les entreprises y participent.
Les entreprises avaient l’habitude de penser que la RSE était une option. Ce n’est plus le cas. Ils ont besoin de consommateurs et les consommateurs veulent soutenir de bonnes causes par leurs achats. Ils s’attendent également à ce que les entreprises soient responsables tout au long de leurs activités commerciales.
Pour les organismes sans but lucratif, les tendances sont également à la hausse. Parce que les ententes de marketing conclues avec les entreprises ont explosé. L’un des aspects les plus positifs n’est pas la télévision ou les médias sociaux, mais lorsque nous les achetons. La charité de caisse s’est avérée être une poule aux oeufs d’or pour beaucoup d’organisations à but non lucratif, même si elle ne semble pas brillante ou glamour.
Tendance no 2 : les entreprises commencent à demander aux consommateurs d’apporter des changements
Les entreprises ont parfois inversé la situation des consommateurs. Elles demandent des changements de comportement, pas seulement l’achat de produits. L’accent est mis sur une vie plus saine et sur la sécurité.
Parmi les exemples de cette approche, mentionnons la campagne de lutte contre le tabac, l’engagement de ne pas boire et conduire, et le programme 5 fruits et légumes par jour qui encourageait tout le monde à simplement bouger et manger sain.
Cette tendance s’accompagne d’un intérêt connexe pour la Génération Z. Ils promettent d’être encore plus engagés socialement que les Millennials, en plus d’être des « digital natives », ce qui oblige les entreprises à conquérir de nouvelles façons de communiquer.
Le défi générationnel a également forcé les campagnes de marketing à devenir encore plus multicanaux. Les conversations et les campagnes comprennent maintenant la publicité hors ligne, la publicité télévisée, les canaux de médias sociaux hashtag, la vidéo en continu, et plus encore.
Tendance no 3 : élaboration de pratiques exemplaires
Alors que le marketing de cause prend de plus en plus d’importance, le marketing de cause minable a été appelé à rendre des comptes. Les médias et le public ont exprimé leur désapprobation lorsque le marketing de cause déraille.
Nous exigeons tous de bonnes pratiques en matière de marketing de cause. Et ils se développent. Un exemple est la liste des programmes de marketing dignes d’intérêt sur les causes du cancer du sein ou la mucoviscidose. Les pratiques exemplaires de ces programmes comprennent deux normes de transparence :
Restez à l’affût des pratiques exemplaires à mesure qu’elles évoluent.